Portugal : une aide européenne de 60 millions d'euros en faveur des bus propres
La Commission européenne vient de valider l’attribution d’une subvention de 60 millions d’euros destinée à accompagner le Portugal dans l’acquisition de bus propres et dans l’installation des infrastructures associées.
GNC, GNL, électrique, hybride ou hydrogène... pour l’Europe, il s’agit de contribuer au remplacement des vieux bus par de nouveaux modèles à faibles émissions. « Pour chaque autobus, cette mesure devrait conduire à une réduction des émissions de gaz à effet de serre d'au moins 15 % par rapport aux normes européennes en vigueur (Euro VI) » note le communiqué de la commission.
Aujourd’hui, les autobus à faibles émissions restent peu utilisés au Portugal. Raison principale : un coût élevé par rapport aux bus conventionnels qui freine l’investissement des opérateurs.
L’enveloppe européenne servira à alimenter un fond géré par le gouvernement portugais. Ce dernier prendra à sa charge 85 % des coûts éligibles par un financement tandis que les compagnies d'autobus assumeront la part restante.
« Cette mesure permettra d'améliorer la qualité de l'air au Portugal et est compatible avec l'objectif européen de réduction des émissions. Elle favorise la transition vers un transport public plus écologique dans les zones urbaines sans fausser la concurrence » a précisé Mme Margrethe Vestager, commissaire chargée de la politique de concurrence.
GNC, GNL, électrique, hybride ou hydrogène... pour l’Europe, il s’agit de contribuer au remplacement des vieux bus par de nouveaux modèles à faibles émissions. « Pour chaque autobus, cette mesure devrait conduire à une réduction des émissions de gaz à effet de serre d'au moins 15 % par rapport aux normes européennes en vigueur (Euro VI) » note le communiqué de la commission.
Aujourd’hui, les autobus à faibles émissions restent peu utilisés au Portugal. Raison principale : un coût élevé par rapport aux bus conventionnels qui freine l’investissement des opérateurs.
L’enveloppe européenne servira à alimenter un fond géré par le gouvernement portugais. Ce dernier prendra à sa charge 85 % des coûts éligibles par un financement tandis que les compagnies d'autobus assumeront la part restante.
« Cette mesure permettra d'améliorer la qualité de l'air au Portugal et est compatible avec l'objectif européen de réduction des émissions. Elle favorise la transition vers un transport public plus écologique dans les zones urbaines sans fausser la concurrence » a précisé Mme Margrethe Vestager, commissaire chargée de la politique de concurrence.
