La première station GNL d’Ile-de-France ouvre ses portes à Rungis

La première station GNL d’Ile-de-France ouvre ses portes à Rungis
A l’occasion de la journée « Livrer sans polluer », le MIN de Rungis a été présentée la première station GNLC d’Ile de France.
 
Installée sur le site de Sogaris et opérée par GNVert, cette première station GNL en Ile-de-France doit permettre d’accélérer la transition des professionnels vers les véhicules au gaz. La station doit officiellement entrer en service entre fin octobre et début novembre avec une double possibilité de ravitaillement : gaz naturel comprimé ou liquéfié afin de couvrir tous les besoins des professionnels.

Le plein en cinq minutes

Présentée hier lors de la journée « Livrer sans polluer », la station a pu être testée avec un Iveco Stralis GNL.
 
Selon Iveco, seules cinq minutes suffisent au conducteur pour récupérer 170 kg de gaz contre 15 minutes pour un réservoir diesel de taille équivalente.
 
« Il y a 700 km d’autonomie avec le gaz liquide et 150 supplémentaires avec le GNC. Il suffit qu’il avance et le conducteur peut faire un autre plein en complément. Dans ce cas, il faut compter encore 3 à 4 minutes », explique Clément Chandon, responsable gaz chez Iveco, au site transportinfo.fr.

Une station du projet Blue Corridor

La station fait partie du projet européen Blue Corridor qui vise à accélérer le déploiement des stations GNL sur le Vieux Continent.
 
Au-delà de la station de Rungis, Blue Corridor prévoit l’installation de deux autres stations opérées par GNVert à Nîmes et Lyon. Celles-ci seront déployées au cours des prochains mois…
 
Crédit photo : transportinfo.fr

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Michaël TORREGROSSA Michaël TORREGROSSA
Rédacteur en chef
Persuadé que la mobilité du future sera multi-énergies, Michaël est le rédacteur en chef et fondateur de Gaz Mobilité.

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2 Commentaires

  1. ThierryPublié le 15/06/2016 à 10:11

    Cette station est-elle aussi librement accessible aux voitures ?

  2. pablo Publié le 13/08/2018 à 19:02

    c est de la merde tout le temps en panne au final obliger d aller a bercy
    aucun numeros aucun contact

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