voiture

Opel fait le point sur son offre GPL et GNV

Alors que la nouvelle Corsa vient d’arriver en version GPL, Opel rappelle à travers un communiqué son engagement fort en faveur des véhicules à gaz, qu’ils soient GNV ou GPL. Si tous les modèles ne sont pas proposés en France, Opel dispose à ce jour d’une gamme constituée de pas moins de 15 modèles et variantes.
« L’efficacité énergétique et la réduction des émissions de CO2 sont extrêmement importants pour nous » explique Peter Christian Küspert, Vice présence d’Opel. « Opel a une large gamme de véhicules GPL et GNV et peut offrir de réelles alternatives quelles que soient les exigences. Ces véhicules ne sont pas seulement écologiques, ils sont également particulièrement économiques au quotidien »

26000 véhicules écoulés en 2014 

Entre ses modèles GNV et GPL, Opel annonce avoir séduit 26.000 conducteurs l’an dernier, plaçant sans doute le constructeur parmi les leaders du segment aux côtés de l’Italien Fiat.
Une tendance qui semble d’ailleurs s’accroitre cette année avec des ventes en hausse de 35 % par rapport à l’an passé.
 

5 modèles en GPL

Avec pas moins de 12 variantes disponibles, c’est le GPL qui représente la plus grande part de l’offre gaz du constructeur. Au total, cinq modèles, dont certains proposés en plusieurs versions, proposent le GPL au catalogue : l’Adam, la Corsa, la Meriva, la Mokka, l’Astra et l’Insignia.. Avec l’Italie, l’Allemagne fait partie des marchés les plus importants. Le pays compte actuellement 500.000 véhicules GPL en circulation et la poursuite des avantages fiscaux jusqu’en 2018 laisse présager une nouvelle progression du marché. Surtout, le GPL est aujourd’hui largement disponible avec 7000 stations-service équipées en Allemagne et 35000 en Europe.

2 modèles GNV

Plus prudent sur le GNV, sans doute en raison de la plus grande disparité des stations de ravitaillement, Opel propose tout de même deux modèles au catalogue : l’Opel Combo et l’Opel Zafira avec une consommation respective de 4.7 et 4.9 kg/100 km.
Si Opel concentre aujourd’hui tous ces efforts vers les marchés les plus porteurs, Italie et Allemagne en tête, il ne fait aucun doute que le constructeur investira tout autre marché doté d’un contexte favorable pour la filière. A savoir des stations et une politique fiscale adaptée…


A LIRE EGALEMENT