Stations GNV et méthanisation : Creagaz accompagne vos projets
Nouvel acteur spécialisé dans la conception et la réalisation de projets énergétiques gaziers, Creagaz intervient aussi bien sur le GNV que la méthanisation. Une démarche que nous explique Maxime Coyen, Président et fondateur de l’entreprise.
Quand a été fondée Creagaz ? Quels sont ses domaines d’expertise ?
Maxime Coyen : J’ai fondé Creagaz il y a un peu plus d’un an, début 2022. Avant de lancer l’entreprise, j’ai travaillé à la sortie de l’INSA de Rouen en upstream. C’est en 2016 que j’ai pris le virage de la station GNV. J’ai travaillé chez Axegaz en tant que faiseur de station puis chez Primagaz sur le côté maîtrise d’ouvrage.
Aujourd’hui, Creagaz adresse quatre grands secteurs d’activité : la méthanisation, les stations nouvelles énergies, le oil & gaz avec des projets de production et transport et l’hydrogène.
Creagaz est un bureau d‘étude et maitrise d’œuvre qui ne se limite pas à la station-service mais plus largement à l’énergie gaz. Production, transport ou distribution, nous sommes capables d’intervenir aussi bien sur du gaz naturel que de l’hydrogène.
Sur quels projets travaillez-vous ?
Quand Creagaz a été créée, nous n’avions pas de volonté de développer une activité plus qu’une autre. L’histoire nous a un peu rattrapés. Les prix du gaz se sont envolés avec la guerre en Ukraine et il y a eu un coup de frein sur les projets GNV.
Inversement, comme le gaz que l’Europe n’importe plus de Russie arrive par voie maritime, l’upstream a connu une accélération importante. Il y a une forte croissance sur les méthaniers mais aussi sur les porte-conteneurs qui passent du fioul marin au GNL. Cela représente aujourd’hui la majeure partie de notre activité. Nous agissons en tant que sous-traitant sur toute la partie tuyauterie pour dimensionner les lignes et les vannes. Compresseurs, pompes, échangeurs de chaleur etc… nous intervenons également sur les équipements.
Quelle est la tendance sur le marché de la station GNV ?
MC : Maintenant que le gaz est redescendu, l’activité tend à repartir sur le volet mobilité. On sent que nous sommes davantage consultés et que l’activité va croitre entre fin 2023 et début 2024.
Aujourd’hui, la tendance va clairement aux stations multi-énergies. L’idée est de faire des stations qui puissent à la fois intégrer GNV, hydrogène et IRVE (infrastructures de recharge pour véhicules électriques, ndlr).
Quid de la méthanisation et de l’hydrogène ?
MC : Sur la méthanisation, nous sommes également régulièrement consultés malgré un ralentissement suite à un nouvel arrêté tarifaire. Publié avant la guerre en Ukraine, celui-ci réduisait la rentabilité des projets. Le prix du biogaz a toutefois été revalorisé il y a quelques semaines. Cela devrait relancer la dynamique.
L’activité hydrogène est un peu particulière car à ses débuts. Nous recevons beaucoup de consultations, de manifestations d’intérêt mais les réalisations sont rares. Nous intervenons en maitrise d’œuvre sur la partie intégration/tuyauterie en lien avec le fabricant d’électrolyseur.
Quand a été fondée Creagaz ? Quels sont ses domaines d’expertise ?
Maxime Coyen : J’ai fondé Creagaz il y a un peu plus d’un an, début 2022. Avant de lancer l’entreprise, j’ai travaillé à la sortie de l’INSA de Rouen en upstream. C’est en 2016 que j’ai pris le virage de la station GNV. J’ai travaillé chez Axegaz en tant que faiseur de station puis chez Primagaz sur le côté maîtrise d’ouvrage.
Aujourd’hui, Creagaz adresse quatre grands secteurs d’activité : la méthanisation, les stations nouvelles énergies, le oil & gaz avec des projets de production et transport et l’hydrogène.
Creagaz est un bureau d‘étude et maitrise d’œuvre qui ne se limite pas à la station-service mais plus largement à l’énergie gaz. Production, transport ou distribution, nous sommes capables d’intervenir aussi bien sur du gaz naturel que de l’hydrogène.
Sur quels projets travaillez-vous ?
Quand Creagaz a été créée, nous n’avions pas de volonté de développer une activité plus qu’une autre. L’histoire nous a un peu rattrapés. Les prix du gaz se sont envolés avec la guerre en Ukraine et il y a eu un coup de frein sur les projets GNV.
Inversement, comme le gaz que l’Europe n’importe plus de Russie arrive par voie maritime, l’upstream a connu une accélération importante. Il y a une forte croissance sur les méthaniers mais aussi sur les porte-conteneurs qui passent du fioul marin au GNL. Cela représente aujourd’hui la majeure partie de notre activité. Nous agissons en tant que sous-traitant sur toute la partie tuyauterie pour dimensionner les lignes et les vannes. Compresseurs, pompes, échangeurs de chaleur etc… nous intervenons également sur les équipements.
Quelle est la tendance sur le marché de la station GNV ?
MC : Maintenant que le gaz est redescendu, l’activité tend à repartir sur le volet mobilité. On sent que nous sommes davantage consultés et que l’activité va croitre entre fin 2023 et début 2024.
Aujourd’hui, la tendance va clairement aux stations multi-énergies. L’idée est de faire des stations qui puissent à la fois intégrer GNV, hydrogène et IRVE (infrastructures de recharge pour véhicules électriques, ndlr).
Quid de la méthanisation et de l’hydrogène ?
MC : Sur la méthanisation, nous sommes également régulièrement consultés malgré un ralentissement suite à un nouvel arrêté tarifaire. Publié avant la guerre en Ukraine, celui-ci réduisait la rentabilité des projets. Le prix du biogaz a toutefois été revalorisé il y a quelques semaines. Cela devrait relancer la dynamique.
L’activité hydrogène est un peu particulière car à ses débuts. Nous recevons beaucoup de consultations, de manifestations d’intérêt mais les réalisations sont rares. Nous intervenons en maitrise d’œuvre sur la partie intégration/tuyauterie en lien avec le fabricant d’électrolyseur.
La société CREAGAZ est un bureau d'étude et une maîtrise d'oeuvre spécialisé dans la réalisation des projets gaziers (biogaz / gaz naturel / hydrogène).
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