AAP Innovation ADEME : de nouvelles opportunités pour le GNV et le biogaz
Lancé le 12 décembre dernier, le nouveau concours d’innovation de l’ADEME offre de nouvelles opportunités de financement pour les acteurs du GNV et du biogaz.
Financé par le Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), le nouvel appel à projets est opéré par l’ADEME et BpiFrance et s’adresse aux start-ups et PME en quête d’accompagnement pour leurs projets dont le montant oscille entre 600.000 et 5 millions d’euros. Les dossiers retenus se verront proposer un cofinancement de leurs dépenses de recherche, développement et innovation avec un taux d’intervention allant de 35 à 45 % selon la taille de la structure.
Pour être retenus, les projets devront toutefois disposer d’une perspective industrielle et commerciale. Le dossier insiste particulièrement sur le transport maritime et fluvial et évoque la « diffusion d’innovations permettant un gain significatif sur les conditions d’exploitation des navires, et notamment la consommation en énergie ou le recours à de nouvelles énergies à faibles impacts environnementaux ». Sur ce point, certains acteurs du GNL pourraient se positionner sachant que le déploiement d’infrastructures portuaires et fluviales est « exclu du dispositif ».
Financé par le Programme d’Investissements d’Avenir (PIA), le nouvel appel à projets est opéré par l’ADEME et BpiFrance et s’adresse aux start-ups et PME en quête d’accompagnement pour leurs projets dont le montant oscille entre 600.000 et 5 millions d’euros. Les dossiers retenus se verront proposer un cofinancement de leurs dépenses de recherche, développement et innovation avec un taux d’intervention allant de 35 à 45 % selon la taille de la structure.
GNV..
Le transport fait partie des 8 thématiques identifiées par l’appel à projets. Le cahier des charges diffusés par l’ADEME évoque notamment la mise en place de démonstrateurs à travers le « développement de technologies et innovations permettant l’amélioration des performances des véhicules, du 2-roues au véhicule lourd : technologies fondées sur les carburants alternatifs (électricité, gaz naturel véhicule, hydrogène) ».Pour être retenus, les projets devront toutefois disposer d’une perspective industrielle et commerciale. Le dossier insiste particulièrement sur le transport maritime et fluvial et évoque la « diffusion d’innovations permettant un gain significatif sur les conditions d’exploitation des navires, et notamment la consommation en énergie ou le recours à de nouvelles énergies à faibles impacts environnementaux ». Sur ce point, certains acteurs du GNL pourraient se positionner sachant que le déploiement d’infrastructures portuaires et fluviales est « exclu du dispositif ».