Gaz naturel et poids-lourds – L’Angleterre lance un plan de 4 millions de livres
En Angleterre, le gouvernement vient d’annoncer un plan de 4 millions de livres (5.47 millions d’euros) destiné à financer le déploiement de stations de ravitaillement en gaz naturel pour le secteur du transport de marchandises.
« Cet investissement permettra encore plus facilement aux entreprises britanniques d’augmenter leur flotte de véhicules alimentés au gaz naturel. Il ne s’agit pas seulement d’améliorer la qualité de l’air, mais également de soutenir ceux qui développent et construisent cette technologique et de renforcer notre soutien à l’industrie automobile britannique » a précisé la Ministre britannique des Transports, Baroness Kramer.
Le bureau gouvernemental pour le développement des véhicules à faibles émissions (OLEV) travaillera de concert avec les spécialistes du transport pour identifier les zones ou la demande en infrastructures est la plus élevée. Les fournisseurs de gaz et toute autre partie intéressée sont également invités à apporter leur participation financière au projet.
« Le gaz est une solution viable pour permettre aux opérateurs de passer à des carburants alternatifs, notamment pour les longs trajets où les technologies électrique et hybride ne sont pas praticables. Actuellement, le nombre de stations publiques à destination des poids lourds est limité. C’est l’un des principaux freins au décollage du marché » a précisé Rachael Dillon, responsable au sein de l’agence britannique du climat.
« Cet investissement permettra encore plus facilement aux entreprises britanniques d’augmenter leur flotte de véhicules alimentés au gaz naturel. Il ne s’agit pas seulement d’améliorer la qualité de l’air, mais également de soutenir ceux qui développent et construisent cette technologique et de renforcer notre soutien à l’industrie automobile britannique » a précisé la Ministre britannique des Transports, Baroness Kramer.
Le bureau gouvernemental pour le développement des véhicules à faibles émissions (OLEV) travaillera de concert avec les spécialistes du transport pour identifier les zones ou la demande en infrastructures est la plus élevée. Les fournisseurs de gaz et toute autre partie intéressée sont également invités à apporter leur participation financière au projet.
« Le gaz est une solution viable pour permettre aux opérateurs de passer à des carburants alternatifs, notamment pour les longs trajets où les technologies électrique et hybride ne sont pas praticables. Actuellement, le nombre de stations publiques à destination des poids lourds est limité. C’est l’un des principaux freins au décollage du marché » a précisé Rachael Dillon, responsable au sein de l’agence britannique du climat.
