Voiture GNV : Plus de 8 000 immatriculations en Europe au 3e trimestre 2021
Après un début d’année plutôt positif, les immatriculations de voitures au gaz naturel repartent à la baisse. Selon l’ACEA, un peu de 8 000 exemplaires ont été écoulés en Europe au 3e trimestre 2021.
Les ventes de véhicules GNV subissent de plein fouet la crise du secteur automobile. Selon les données communiquées par l’ACEA, 8 311 voitures fonctionnant au gaz naturel ont été immatriculées au cours du 3e trimestre 2021, soit deux fois moins qu’à la même période en 2020. Une baisse qui s’explique en premier lieu par l’important recul du marché italien. Portant l’essentiel des ventes sur le continent, l'Italie a totalisé 5 876 immatriculations sur le trimestre, soit 39 % de moins qu'en 2020. Même chose en Allemagne où les ventes ont diminué de 70 % par rapport à l’année précédente. En France, seuls 20 véhicules ont immatriculé au cours du trimestre écoulé.
Exception faite de la Grèce, les ventes de véhicules GNV ont baissé sur la totalité des marchés européens où la filière est présente. Une situation proche de celles des ventes de véhicules essence et diesel, respectivement en recul de 49 et 50 % sur la période.
Au-delà de la morosité actuelle au niveau des commandes, la crise des composants retarde énormément la production et, de fait, les livraisons. Désormais acteur principal sur le segment des voitures au gaz naturel, le groupe Volkswagen n'échappe pas à la pénurie. Si le GNV figure toujours parmi les motorisations proposées par les différentes marques du groupe, les véhicules tardent encore à sortir des chaines de production. C'est notamment le cas pour la nouvelle Seat Leon TGI qui a pris au moins un an de retard par rapport au calendrier initial.
En progression de 13 % par rapport à l’an dernier, l’Italie totalise 26 460 immatriculations. Arrivent ensuite l’Allemagne (3292 -43 %), la Suède (1 231 -53 %), l’Espagne (927 – 65%) et la Belgique (820 -62 %).
Les ventes de véhicules GNV subissent de plein fouet la crise du secteur automobile. Selon les données communiquées par l’ACEA, 8 311 voitures fonctionnant au gaz naturel ont été immatriculées au cours du 3e trimestre 2021, soit deux fois moins qu’à la même période en 2020. Une baisse qui s’explique en premier lieu par l’important recul du marché italien. Portant l’essentiel des ventes sur le continent, l'Italie a totalisé 5 876 immatriculations sur le trimestre, soit 39 % de moins qu'en 2020. Même chose en Allemagne où les ventes ont diminué de 70 % par rapport à l’année précédente. En France, seuls 20 véhicules ont immatriculé au cours du trimestre écoulé.
Exception faite de la Grèce, les ventes de véhicules GNV ont baissé sur la totalité des marchés européens où la filière est présente. Une situation proche de celles des ventes de véhicules essence et diesel, respectivement en recul de 49 et 50 % sur la période.
Au-delà de la morosité actuelle au niveau des commandes, la crise des composants retarde énormément la production et, de fait, les livraisons. Désormais acteur principal sur le segment des voitures au gaz naturel, le groupe Volkswagen n'échappe pas à la pénurie. Si le GNV figure toujours parmi les motorisations proposées par les différentes marques du groupe, les véhicules tardent encore à sortir des chaines de production. C'est notamment le cas pour la nouvelle Seat Leon TGI qui a pris au moins un an de retard par rapport au calendrier initial.
Plus de 36 000 immatriculations sur l’année
Sur les 9 premiers mois de l’année, plus de 36 000 voitures GNV ont été mises en circulation en Europe. C’est 13 % de moins qu’à la même période en 2020.En progression de 13 % par rapport à l’an dernier, l’Italie totalise 26 460 immatriculations. Arrivent ensuite l’Allemagne (3292 -43 %), la Suède (1 231 -53 %), l’Espagne (927 – 65%) et la Belgique (820 -62 %).
