En Inde, les voitures GNV de Suzuki deviennent encore plus pratiques

Porté par une forte demande locale, le marché indien du GNV continue de séduire automobilistes et constructeurs. Avec son nouveau SUV Victoris, Suzuki franchit une nouvelle étape : un réservoir intégré sous le plancher, synonyme de gain d’espace et de confort d’usage.
Contrairement à l’Europe, où l’offre en véhicules neufs s’est considérablement réduite au cours des dernières années, l’Inde connaît une dynamique soutenue, portée par les politiques publiques et une offre industrielle en constante évolution. Conséquence directe de ce contexte favorable, les constructeurs multiplient les lancements. Ainsi pour le Victoris, un nouveau SUV proposé par Suzuki.
Un choix qui témoigne de la maturité de la filière en Inde où l'intégration du GNC fait désormais partie des réflexions des constructeurs dès la conception des véhicules. Il montre aussi que les constructeurs s’adaptent aux attentes des consommateurs, longtemps rebutés par les compromis en matière de praticité. Une solution qui s'étendra probablement à d'autres modèles de la gamme.
Comme les autres déclinaisons de la gamme, le SUV se distingue par une dotation technologique complète : système ADAS de niveau 2, six airbags, ESP, freinage d’urgence, caméras à 360°, reconnaissance vocale via Alexa etc... Trois finitions sont proposées, avec des prix allant de 10 980 à 13 900 € sur le marché indien.
Avec 4,36 m de longueur, il adopte un format équivalent à un Renault Captur, un Hyundai Kona ou un Peugeot 2008, des modèles populaires en Europe.
Malgré son potentiel, une commercialisation sur le Vieux Continent semble peu probable. L’adaptation à la conduite à gauche et le respect des normes CO2 européennes représenteraient sans doute des obstacles importants pour le constructeur, d’autant plus sur un marché où l’électrification est fortement poussée par les politiques.
Contrairement à l’Europe, où l’offre en véhicules neufs s’est considérablement réduite au cours des dernières années, l’Inde connaît une dynamique soutenue, portée par les politiques publiques et une offre industrielle en constante évolution. Conséquence directe de ce contexte favorable, les constructeurs multiplient les lancements. Ainsi pour le Victoris, un nouveau SUV proposé par Suzuki.
Une intégration repensée pour optimiser l’espace
Jusqu’à récemment, les voitures GNV vendues en Inde étaient équipées de réservoirs installés dans le coffre. Cette implantation réduisait considérablement l’espace de chargement. Maruti Suzuki change la donne avec son nouveau SUV Victoris, lancé début septembre 2025. Le réservoir y est placé sous le plancher du véhicule et embarque l'équivalent de 55 litres (45 l pour le réservoir essence). Cette configuration permet de préserver l’espace intérieur tout en améliorant l’intégration technique du système.Un choix qui témoigne de la maturité de la filière en Inde où l'intégration du GNC fait désormais partie des réflexions des constructeurs dès la conception des véhicules. Il montre aussi que les constructeurs s’adaptent aux attentes des consommateurs, longtemps rebutés par les compromis en matière de praticité. Une solution qui s'étendra probablement à d'autres modèles de la gamme.
L'intégration du réservoir GNC dans le soubassement du coffre permet de ne pas impacter l'espace de chargement
Un modèle bien équipé, mais réservé au marché local
En dual-fuel essence-GNV, le Maruti Suzuki Victoris CNG embarque un moteur quatre cylindres de 103 ch (87 ch en mode GNV) et un couple de 121 Nm. La transmission est assurée par une boîte manuelle à cinq rapports. L’autonomie annoncée est d’environ 250 à 270 km en mode GNV, grâce à un unique réservoir.Comme les autres déclinaisons de la gamme, le SUV se distingue par une dotation technologique complète : système ADAS de niveau 2, six airbags, ESP, freinage d’urgence, caméras à 360°, reconnaissance vocale via Alexa etc... Trois finitions sont proposées, avec des prix allant de 10 980 à 13 900 € sur le marché indien.
Avec 4,36 m de longueur, il adopte un format équivalent à un Renault Captur, un Hyundai Kona ou un Peugeot 2008, des modèles populaires en Europe.
Malgré son potentiel, une commercialisation sur le Vieux Continent semble peu probable. L’adaptation à la conduite à gauche et le respect des normes CO2 européennes représenteraient sans doute des obstacles importants pour le constructeur, d’autant plus sur un marché où l’électrification est fortement poussée par les politiques.
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