Vendée GNV Tour : plein succès pour la journée portes ouvertes d'Agribiométhane
Première étape du Vendée GNV Tour, la station Agribiométhane de Mortagne-sur-Sèvre organisait ce mardi 4 juin une journée portes ouvertes à destination des professionnels et du grand public. A la clé : un mois de biogaz offert pour tout achat de véhicule réalisé avant le 30 juin.
Iveco, Seat, Fiat etc… au-delà des modèles présentés et proposés à l’essai par différents concessionnaires locaux, cette journée était aussi l’occasion de rappeler le fonctionnement de cette station unique en France. Montée par un regroupement d’agriculteurs, celle-ci associe la distribution de bioGNV à un site de méthanisation. Installé à seulement quelques centaines de mètres, celui-ci produit son gaz vert à partir d’effluents d’élevage et de déchets agroalimentaires.
Un carburant vert 100 % vendéen qui est aujourd'hui l'un des moins chers du marché. Prix à la pompe : 0.99 €/kg. Sur la Seat Leon TGi avec laquelle nous participons, le plein nous aura coûté 17 euros pour une autonomie de 400 kilomètres, soit moitié moins que pour un plein d'essence ou de diesel.
« Ce qui nous inquiète, c’est de ne pas forcément trouver de stations » s’inquiète ce couple de retraités, séduit par son essai de la Leon TGI. Rassurés par la carte des stations déployées et à venir mais aussi par la présence d’un second réservoir essence « de secours », ils songent à s’équiper d’un petit modèle, de préférence doté d’une boîte automatique.
Cet intérêt du grand public pour la solution gaz confirme la tendance observée par Gaz Mobilité depuis quelques mois. Un constat qui a motivé le lancement du forum de discussion GNV en fin d’année dernière. Reste maintenant aux gaziers, sans doute trop orientés sur le B2B, à en prendre la mesure…
Iveco, Seat, Fiat etc… au-delà des modèles présentés et proposés à l’essai par différents concessionnaires locaux, cette journée était aussi l’occasion de rappeler le fonctionnement de cette station unique en France. Montée par un regroupement d’agriculteurs, celle-ci associe la distribution de bioGNV à un site de méthanisation. Installé à seulement quelques centaines de mètres, celui-ci produit son gaz vert à partir d’effluents d’élevage et de déchets agroalimentaires.
Un carburant vert 100 % vendéen qui est aujourd'hui l'un des moins chers du marché. Prix à la pompe : 0.99 €/kg. Sur la Seat Leon TGi avec laquelle nous participons, le plein nous aura coûté 17 euros pour une autonomie de 400 kilomètres, soit moitié moins que pour un plein d'essence ou de diesel.
Un mois de carburant offert
Pour dynamiser la vente de véhicules GNV sur le territoire, Agribiométhane profitait de cette journée portes ouvertes pour lancer une opération spéciale. Professionnel ou grand public, pour tout achat d’un véhicule GNV d’ici au 30 juin 2019, l’opérateur vous offre un mois de carburant gratuit sur sa station.De nombreux visiteurs
Si les professionnels sont venus nombreux pour écouter les témoignages de transporteurs pionniers tels que Delanchy, Mousset ou Rautureau, le grand public a aussi répondu présent à l’invitation d’Agribiométhane. Malgré une météo mitigée, essais de véhicules et démonstrations des procédures de ravitaillement se sont enchaînés tout au long de la journée. Les amalgames avec le GPL étant encore nombreux, la pédagogie était essentielle. Une tâche particulièrement bien menée par Damien Roy, l’un des 10 agriculteurs vendéens à l’origine d’Agribiométhane, et l’ensemble des concessionnaires présents lors de l’événement.« Ce qui nous inquiète, c’est de ne pas forcément trouver de stations » s’inquiète ce couple de retraités, séduit par son essai de la Leon TGI. Rassurés par la carte des stations déployées et à venir mais aussi par la présence d’un second réservoir essence « de secours », ils songent à s’équiper d’un petit modèle, de préférence doté d’une boîte automatique.
Cet intérêt du grand public pour la solution gaz confirme la tendance observée par Gaz Mobilité depuis quelques mois. Un constat qui a motivé le lancement du forum de discussion GNV en fin d’année dernière. Reste maintenant aux gaziers, sans doute trop orientés sur le B2B, à en prendre la mesure…
Merci,
C’est de cette façon que le public peut mieux connaître cette énergie propre.
Si seulement l’on pouvait en faire autant en région Parisienne avec nos déchets ménagers par exemple.
Mais je sais aussi qu’il faut de gros investissement.
Bravo .
Amalia