200 acteurs se mobilisent pour défendre le biométhane carburant
En réponse à la proposition de l’Europe de règlement CO2 pour les véhicules lourds du transport routier de marchandises et de personnes, plus de 200 acteurs se mobilisent pour demander de lever les barrières au développement du biométhane carburant.
Collectivités locales, instances économiques, syndicats d’énergie, acteurs du transport et de l’énergie… plus de 200 acteurs, dont Gaz-Mobilité, ont répondu à l’appel de l’AFGNV pour faire valoir la pertinence du bioGNV pour la décarbonation des transports à travers la publication d’une tribune commune.
« Des solutions alternatives existent et sont disponibles dès aujourd’hui pour contribuer de manière concrète, économique et écologique à l’abandon des carburants fossile » soulignent les signataires, dénonçant la position dogmatique de l’Europe vis-à-vis de l’électrique et de l’hydrogène. Appelant à un système plus juste, la tribune appelle à sortir du simple calcul des émissions du « réservoir à la roue », favorable aux modèles électriques et à hydrogène, pour passer à une analyse en cycle de vie, du "puits à la roue". Beaucoup plus complète, celle-ci permettrait de mieux considérer les bénéfices environnementaux d’autres carburants, dont le bioGNV.
Le biométhane est également une réalité. Alors que le biogaz couvre déjà plus de 30 % de la consommation de gaz carburant en France, la filière apporte aussi une réponse concrète aux enjeux d’indépendance énergétique de l’Europe.
Retrouvez ci-dessous l’intégralité de la tribune diffusée sur Le Monde et Les Échos. La liste des signataires est accessible sur le site de l'AFGNV.
Collectivités locales, instances économiques, syndicats d’énergie, acteurs du transport et de l’énergie… plus de 200 acteurs, dont Gaz-Mobilité, ont répondu à l’appel de l’AFGNV pour faire valoir la pertinence du bioGNV pour la décarbonation des transports à travers la publication d’une tribune commune.
« Des solutions alternatives existent et sont disponibles dès aujourd’hui pour contribuer de manière concrète, économique et écologique à l’abandon des carburants fossile » soulignent les signataires, dénonçant la position dogmatique de l’Europe vis-à-vis de l’électrique et de l’hydrogène. Appelant à un système plus juste, la tribune appelle à sortir du simple calcul des émissions du « réservoir à la roue », favorable aux modèles électriques et à hydrogène, pour passer à une analyse en cycle de vie, du "puits à la roue". Beaucoup plus complète, celle-ci permettrait de mieux considérer les bénéfices environnementaux d’autres carburants, dont le bioGNV.
Une filière mature
Au-delà des intérêts environnementaux, la maturité de la filière est également mise en avant. Beaucoup moins exposée aux contraintes liées aux terres rares et autres matériaux précieux, l’offre est déjà disponible avec une diversité de fournisseurs européens tels qu’Iveco, Scania et Volvo.Le biométhane est également une réalité. Alors que le biogaz couvre déjà plus de 30 % de la consommation de gaz carburant en France, la filière apporte aussi une réponse concrète aux enjeux d’indépendance énergétique de l’Europe.
Retrouvez ci-dessous l’intégralité de la tribune diffusée sur Le Monde et Les Échos. La liste des signataires est accessible sur le site de l'AFGNV.
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Bravo pour cette tribune, la mobilisation des acteurs peut faire écho...
Mais ce qui est vrai pour les poids lourds ou transports en commun, l’est également pour la voiture du particulier.
Pourquoi l’AFGNV ne mentionne-t-il pas la voiture des particuliers au bioGNV ?
En ne s’engageant pas dans la défense de la voiture au bioGNV, et en étant restée silencieux sur ce sujet, l’AFGNV se trouve en position de faiblesse sur le transport lourd. En montant au créneau au sujet des voitures particulières, l’AFGNV aurait déjà pu ainsi défendre le bioGNV dans la mobilité de façon globale, ce qui aurait été plus crédible et cohérent...