En complément de l'hydrogène, le Japon mise sur le GNL
Un groupe de 15 entreprises japonaises, dont Tokyo Gas Co. et Isuzu Motors Ltd. ont formé une alliance pour promouvoir le gaz naturel liquéfié (GNL) et ainsi contribuer à l’objectif zéro émission de gaz à effet de serre, que s’est fixé le Pays du Soleil Levant , d’ici 2050.
« Bien que notre objectif soit de parvenir à une société basée sur l'hydrogène ou à une société à zéro carbone, les émissions de CO2 sont actuellement en hausse », a déclaré Kunio Nohata, vice-président exécutif de Tokyo Gas,. Effectivement, jusqu’alors le Japon avait concentré ses efforts pour la réduction des émissions sur l’exploitation des piles à hydrogène. La création de ce consortium marque la volonté du pays d’élargir son mix énergétique.
Isuzu avait jusqu’alors bien fait quelques incursions dans les camions ou bus au gaz naturel comprimé (GNC), mais les initiatives restaient jusqu’alors limitées et principalement destinées à l’exportation. D’ailleurs, le constructeur automobile vient seulement de commercialiser quelques véhicules qui pourront se ravitailler dans l’une des rares stations GNL, située dans la préfecture de Kanagawa, près de Tokyo.
Réunissant des acteurs majeurs de différentes secteurs économiques (le fournisseur d’énergie Tokyo Gas, le fabricant de boissons Asahi Group Holdings Ltd, le conglomérat industriel Toshiba Corp, la Mitsui Sumitomo Trust Bank et Lumine Co, une chaîne de grands magasins associée à East Japan Railway Co...), le conglomérat de promotion du GNL vise un développement des usages, mais surtout une production de GNL neutre en carbone.
Faute d’équipements de fabrication de bioGNV, il est entré dans une logique de compensation des émissions de CO2 résultant du processus de fabrication : Tokyo Gas va donc acheter du GNL à Shell Eastern Trading (Pte) Ltd. tout en développant en parallèle des projets de séquestration du carbone.
« Bien que notre objectif soit de parvenir à une société basée sur l'hydrogène ou à une société à zéro carbone, les émissions de CO2 sont actuellement en hausse », a déclaré Kunio Nohata, vice-président exécutif de Tokyo Gas,. Effectivement, jusqu’alors le Japon avait concentré ses efforts pour la réduction des émissions sur l’exploitation des piles à hydrogène. La création de ce consortium marque la volonté du pays d’élargir son mix énergétique.
Isuzu avait jusqu’alors bien fait quelques incursions dans les camions ou bus au gaz naturel comprimé (GNC), mais les initiatives restaient jusqu’alors limitées et principalement destinées à l’exportation. D’ailleurs, le constructeur automobile vient seulement de commercialiser quelques véhicules qui pourront se ravitailler dans l’une des rares stations GNL, située dans la préfecture de Kanagawa, près de Tokyo.
Réunissant des acteurs majeurs de différentes secteurs économiques (le fournisseur d’énergie Tokyo Gas, le fabricant de boissons Asahi Group Holdings Ltd, le conglomérat industriel Toshiba Corp, la Mitsui Sumitomo Trust Bank et Lumine Co, une chaîne de grands magasins associée à East Japan Railway Co...), le conglomérat de promotion du GNL vise un développement des usages, mais surtout une production de GNL neutre en carbone.
Faute d’équipements de fabrication de bioGNV, il est entré dans une logique de compensation des émissions de CO2 résultant du processus de fabrication : Tokyo Gas va donc acheter du GNL à Shell Eastern Trading (Pte) Ltd. tout en développant en parallèle des projets de séquestration du carbone.
