GNL : le carburant alternatif économiquement le plus viable pour les navires
Le gaz naturel est le seul carburant, parmi toutes les alternatives à ceux utilisés, viable à court terme pour le secteur maritime. C’est ce que met en lumière un rapport publié par SEA/LNG, une fondation britannique engagée dans la promotion de l’utilisation du GNL.
« Cette étude conforte notre conviction selon laquelle, pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et améliorer la qualité de l'air, les armateurs et les gestionnaires de navires doivent agir de manière décisive et investir dans des navires capables de traiter le GNL. Cela améliorera la durabilité à long terme du secteur des transports maritimes, tout en préservant un avantage concurrentiel pour les armateurs et les opérateurs qui facilitent le commerce mondial ». Peter Keller, président de SEA LNG, résume en quelques mots l’option évidente pour le GNL qui résulte de l’étude menée par son organisation.
Basée sur la littérature industrielle existante et les recherches en cours, celle-ci évalue la viabilité commerciale et opérationnelle de six des principaux carburants alternatifs : l’hydrogène, l’ammoniac, le méthanol, le GPL, le biocarburant sous forme d’huile végétale hydrotraitée et les systèmes entièrement électriques à batterie. Examinant leurs performances par rapport au GNL sur un ensemble de onze paramètres, le rapport montre que le GNL est le carburant alternatif le plus mature, évolutif et commercialement viable actuellement disponible pour le secteur maritime.
La dimension économique est d’autant plus essentielle que le secteur du transport maritime subit de grosses pressions pour prendre des mesures pour réduire les émissions de gaz à effets de serre. Dans ce cadre, comme le rappelle Torsten Schramm, président de DNV GL-Maritime. « Cela signifie que les armements, en particulier ceux qui sont sur le marché d’un nouveau bâtiment, devraient figurer dans le radar des technologies de propulsion et des carburants de remplacement. Cette nouvelle étude devrait permettre de brosser un tableau plus clair des différents carburants et de leurs infrastructures environnantes. Ce qui est déjà clair, toutefois, c'est que le GNL peut jouer un rôle précieux et positif dans l'amélioration des émissions atmosphériques de l'industrie maritime entre 2030 et 2050 ».
« Cette étude conforte notre conviction selon laquelle, pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et améliorer la qualité de l'air, les armateurs et les gestionnaires de navires doivent agir de manière décisive et investir dans des navires capables de traiter le GNL. Cela améliorera la durabilité à long terme du secteur des transports maritimes, tout en préservant un avantage concurrentiel pour les armateurs et les opérateurs qui facilitent le commerce mondial ». Peter Keller, président de SEA LNG, résume en quelques mots l’option évidente pour le GNL qui résulte de l’étude menée par son organisation.
Basée sur la littérature industrielle existante et les recherches en cours, celle-ci évalue la viabilité commerciale et opérationnelle de six des principaux carburants alternatifs : l’hydrogène, l’ammoniac, le méthanol, le GPL, le biocarburant sous forme d’huile végétale hydrotraitée et les systèmes entièrement électriques à batterie. Examinant leurs performances par rapport au GNL sur un ensemble de onze paramètres, le rapport montre que le GNL est le carburant alternatif le plus mature, évolutif et commercialement viable actuellement disponible pour le secteur maritime.
De grosses pressions pour baisser les gaz à effet de serre
Les experts de DNV G-Maritime, à qui l’étude a été confiée, soulignent que, même s’il existe une variété de carburants de remplacement qui ne rejettent pas de carbone, bon nombre de ces solutions de remplacement nécessitent un développement (infrastructure de production et capacités de soutage) trop important pour répondre dans les délais (horizon 2030 et 2050) aux besoins de décarbonation du secteur du transport maritime. Outre ces aspects industriels, ils pointent aussi le manque de cadre réglementaire ainsi que les surcoûts engendrés.La dimension économique est d’autant plus essentielle que le secteur du transport maritime subit de grosses pressions pour prendre des mesures pour réduire les émissions de gaz à effets de serre. Dans ce cadre, comme le rappelle Torsten Schramm, président de DNV GL-Maritime. « Cela signifie que les armements, en particulier ceux qui sont sur le marché d’un nouveau bâtiment, devraient figurer dans le radar des technologies de propulsion et des carburants de remplacement. Cette nouvelle étude devrait permettre de brosser un tableau plus clair des différents carburants et de leurs infrastructures environnantes. Ce qui est déjà clair, toutefois, c'est que le GNL peut jouer un rôle précieux et positif dans l'amélioration des émissions atmosphériques de l'industrie maritime entre 2030 et 2050 ».
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