Mobilité et gaz vert : les Côtes-d'Armor en première ligne
Une journée orientée « gaz vert et mobilité décarbonée » a eu lieu vendredi 23 septembre pour les entreprises de travaux publics des Côtes-d’Armor (22). Celles-ci y ont visité l’unité de méthanisation de la SAS Méthaservin à Saint-Hélen ainsi que la station d’avitaillement de Quévert. L’occasion de renouveler leur intérêt pour les sources alternatives de carburant.
Si l’Antenne départementale de la Fédération Régionale des Travaux Publics Bretagne dans les Côtes-d'Armor (TP22) a invité les entreprises locales de travaux publics, c’est pour les remercier pour leur contribution à la mise en œuvre de ces projets, et pour leur présenter des solutions de décarbonation qui pourront les intéresser, aussi bien pour le chauffage que pour leurs flottes de véhicules.
Tous les véhicules qui roulent au gaz bénéficient de la vignette Crit’Air 1 qui les autorise à circuler lors des pics de pollution et dans les Zones à Faible Émission (ZFE). Dans sa version renouvelable, le BioGNV permet de réduire de plus de 80 % les émissions de CO2 par rapport au diesel.
Le Pacte biogazier breton (2019) prévoit d’injecter 10 % de biogaz dans les réseaux régionaux dès 2025. 62 unités de production de gaz vert sont déjà raccordées au réseau exploité par GRDF en Bretagne et de nombreux projets sont actuellement en étude ou en émergence.
100 millions de kWh de gaz vert produit dans les Côtes-d’Armor
Ces derniers mois, de nombreux projets costarmoricains de transition énergétique ont connu une phase d’accélération. Aujourd’hui, 6 unités de méthanisation injectent leur production de gaz vert sur le réseau de distribution exploité localement par GRDF. Avec une production annuelle de plus de 100 millions de kWh de gaz vert, elles couvrent en gaz renouvelable 4,3 % des consommations du département.Deux nouvelles stations d’avitaillement en bioGNV seront ouvertes dans les prochaines semaines.Si l’Antenne départementale de la Fédération Régionale des Travaux Publics Bretagne dans les Côtes-d'Armor (TP22) a invité les entreprises locales de travaux publics, c’est pour les remercier pour leur contribution à la mise en œuvre de ces projets, et pour leur présenter des solutions de décarbonation qui pourront les intéresser, aussi bien pour le chauffage que pour leurs flottes de véhicules.
Le GNV pour circuler partout et tout le temps
Le trafic routier représente aujourd’hui un tiers des émissions de CO2. Le GNV, comme le BioGNV, présentent une solution immédiatement disponible pour réduire considérablement la pollution locale.Tous les véhicules qui roulent au gaz bénéficient de la vignette Crit’Air 1 qui les autorise à circuler lors des pics de pollution et dans les Zones à Faible Émission (ZFE). Dans sa version renouvelable, le BioGNV permet de réduire de plus de 80 % les émissions de CO2 par rapport au diesel.
Le biométhane pour réduire les émissions de CO2 et favoriser l’économie circulaire
En Bretagne, les installations actuellement en service valorisent majoritairement des gisements d’origine agricole, mais offrent également une véritable opportunité aux territoires, pour répondre, dès 2024, à l’obligation du tri à la source des biodéchets. Ces unités d’injection de gaz vert contribuent ainsi au développement d’une logique d’économie circulaire.Le Pacte biogazier breton (2019) prévoit d’injecter 10 % de biogaz dans les réseaux régionaux dès 2025. 62 unités de production de gaz vert sont déjà raccordées au réseau exploité par GRDF en Bretagne et de nombreux projets sont actuellement en étude ou en émergence.
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Bravo à la Bretagne pour son dynamisme sur le bioGNV pour la mobilité.