Shell et Iveco bouclent leur bioGNL Tour
Avec pour ambition de démontrer la viabilité des camions propulsés au biométhane liquide, Shell et Iveco viennent de boucler leur bio-GNL Tour.
Etalé sur dix jours, ce tour d’Europe a été réalisé avec un Iveco S-Way propulsé au bioGNL. La tournée a débuté à la station Mittenwalde Shell à Berlin. Elle est ensuite passée par cinq étapes de l'écosystème bioGNL le long d’un parcours qui a permis de traverser l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Italie. Objectif : démontrer qu'un itinéraire long-courrier à travers l'Europe avec un camion propulsé au bioGNL est possible.
« Chaque étape a été l'occasion de rassembler les leaders du secteur, producteurs et distributeurs, et les utilisateurs finaux impliqués dans la chaîne de valeur du bioGNL pour des échanges sur l'utilisation du bioGNL pour décarboner de manière rentable le transport routier de marchandises » font savoir les deux partenaires dans un communiqué commun.
Sur l’intégralité du trajet, il aura consommé 560 kg de BioGNL, émettant ainsi 342 kg de CO2, soit 2 tonnes de CO2 de moins que son homologue diesel.
Etalé sur dix jours, ce tour d’Europe a été réalisé avec un Iveco S-Way propulsé au bioGNL. La tournée a débuté à la station Mittenwalde Shell à Berlin. Elle est ensuite passée par cinq étapes de l'écosystème bioGNL le long d’un parcours qui a permis de traverser l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Italie. Objectif : démontrer qu'un itinéraire long-courrier à travers l'Europe avec un camion propulsé au bioGNL est possible.
« Chaque étape a été l'occasion de rassembler les leaders du secteur, producteurs et distributeurs, et les utilisateurs finaux impliqués dans la chaîne de valeur du bioGNL pour des échanges sur l'utilisation du bioGNL pour décarboner de manière rentable le transport routier de marchandises » font savoir les deux partenaires dans un communiqué commun.
Plus de 2 000 km parcourus
Chargé de 25 tonnes de marchandises, l’Iveco S-Way utilisé lors du tour a parcouru 2 155 km à travers l'Europe.Sur l’intégralité du trajet, il aura consommé 560 kg de BioGNL, émettant ainsi 342 kg de CO2, soit 2 tonnes de CO2 de moins que son homologue diesel.
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Intéressant, mais il est regrettable que Shell se tienne à l’écart du GNC. En effet, une fois une structure de station GNL installée, le coût pour installer des bornes GNC est réduit, et rendrait un service aux professionnels et particuliers roulant au GNC.
Mais Shell ne le fait pas. Pourquoi ?