CO2 : comment le GNV peut contribuer à l'atteinte des objectifs européens

Evenement
Journée poids lourds BioGNV

Le 15 mai 2025 sur le circuit de Dreux, dans l'Ouest Parisien, GRDF et ses partenaires vous invitent à une journée consacrée aux poids lourds BioGNV.
Un évenement associant ateliers thematiques, networking et essais dynamiques sur piste.
En savoir plus
Un évenement associant ateliers thematiques, networking et essais dynamiques sur piste.
Alors que l’Europe souhaite réduire de 30 % les émissions de CO2 dans le domaine du transport, l’association NGVA Europe rappelle le rôle important que le GNV pourrait être amené à jouer dans cette transition et appelle les autorités européennes à soutenir davantage le GNC et le GNL.
Pour NGVA Europe, l’objectif ambitieux de la commission européenne de réduire de 30 % les émissions de CO2 du secteur des transports ne pourra être atteint sans développer davantage les carburants de substitution.
Pour l’association bruxelloise qui vise à promouvoir le GNV à l’échelle européenne, les réglementations de plus en plus strictes mises en place par les villes, dont certaines commencent à interdire l’accès aux véhicules diesel, vont favoriser le développement de carburants alternatifs comme le gaz naturel.
« Les voitures GNC sont déjà conformes à l’objectif 2020 d’une moyenne CO2 de 95 g/km (…) Pour les poids lourds, le gaz naturel reste la seule alternative viable au diesel » souligne l’association dans son communiqué. Pour NGVA Europe, l’efficience des moteurs gaz devrait encore progresser au cours des prochaines années, l’industrie estimant qu’un véhicule GNV pourrait émettre 30 % de CO2 en moins par rapport au diesel à l’horizon 2030 voire davantage avec le mix gaz naturel-biométhane.
Quant à la voiture particulière, le GNV pourrait contribuer à réduire les émissions de CO2 de 2 à 3 % s’il parvient à s’accaparer environ 7 % de parts de marché, soit environ 40 millions de véhicules en circulation.
« L'énorme potentiel et les avantages des moteurs à gaz naturel ne sont pas suffisamment récompensés », s’inquiète Matthias Maedge, secrétaire général de NGVA Europe, qui appelle la Commission Européenne à reconnaitre le GNC et le GNL dans sa prochaine stratégie sur la décarbonisation des transports.
Pour NGVA Europe, l’objectif ambitieux de la commission européenne de réduire de 30 % les émissions de CO2 du secteur des transports ne pourra être atteint sans développer davantage les carburants de substitution.
Pour l’association bruxelloise qui vise à promouvoir le GNV à l’échelle européenne, les réglementations de plus en plus strictes mises en place par les villes, dont certaines commencent à interdire l’accès aux véhicules diesel, vont favoriser le développement de carburants alternatifs comme le gaz naturel.
« Les voitures GNC sont déjà conformes à l’objectif 2020 d’une moyenne CO2 de 95 g/km (…) Pour les poids lourds, le gaz naturel reste la seule alternative viable au diesel » souligne l’association dans son communiqué. Pour NGVA Europe, l’efficience des moteurs gaz devrait encore progresser au cours des prochaines années, l’industrie estimant qu’un véhicule GNV pourrait émettre 30 % de CO2 en moins par rapport au diesel à l’horizon 2030 voire davantage avec le mix gaz naturel-biométhane.
Des projections à l’horizon 2030
Selon les projections de NGVA Europe, les camions GNV pourraient contribuer à réduire de 3 % les émissions de CO2 en Europe s’ils représentent environ 14 % du marché, soit un million de véhicules en circulation. Pour les bus, l’effet de levier du GNV serait encore plus important. Avec 100.000 véhicules en circulation, soit 11 % du marché, les émissions seraient réduites d’environ 4 % sur le segment.Quant à la voiture particulière, le GNV pourrait contribuer à réduire les émissions de CO2 de 2 à 3 % s’il parvient à s’accaparer environ 7 % de parts de marché, soit environ 40 millions de véhicules en circulation.

Un éco-système à développer
Gaz naturel, électrique, hydrogène ou biocarburants liquides… pour NGVA, la mobilité durable reposera sur un mix-énergétique où chaque carburant alternatif aura un rôle à jouer. Un éco-système à construire qui dépendra essentiellement de la volonté européenne à développer un marché viable et pérenne pour le gaz carburant.« L'énorme potentiel et les avantages des moteurs à gaz naturel ne sont pas suffisamment récompensés », s’inquiète Matthias Maedge, secrétaire général de NGVA Europe, qui appelle la Commission Européenne à reconnaitre le GNC et le GNL dans sa prochaine stratégie sur la décarbonisation des transports.
Un média soutenu par ses partenaires
Si Gaz-Mobilite.fr vous informe gratuitement et sans publicité sur toute l'actualité de la filière GNV, c'est grâce au soutien d'une quarantaine de partenaires.
Si Gaz-Mobilite.fr vous informe gratuitement et sans publicité sur toute l'actualité de la filière GNV, c'est grâce au soutien d'une quarantaine de partenaires.
Vous souhaitez nous soutenir ?
Rejoignez nos partenaires !
Rejoignez nos partenaires !